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Piémont + Mercantour
(2018)

Boucle à travers le Piémont italien, plus précisément le parc naturel des Alpes Maritimes (parco naturale delle Alpi Marittime) situé dans la province de Coni (Cuneo), et le Mercantour français, pendant plus de 13 jours.

 

Nous étions 3 avec Pascale et Michel, mon copain auvergnat, organisateur comme l’année dernière. Nous avons eu beaucoup de chance avec la météo, puisque nous avons eu 3 orages, presque tous évités. Les rencontres avec les marmottes, chamois et bouquetins resteront gravées à jamais dans nos mémoires de randonneurs. Egalement de bien belles rencontres humaines, Carole et Amandine, Charly et Jean-Michel… Ci-dessous, tous les chiffres montrant à eux seuls le côté sportif, le récit complet et toutes les photos de ce trek. Ne manque plus que votre commentaire en bas de page.

Dénivelé positif : 15150 m, dénivelé négatif : 14390 m

Distance : 220 km, altitude maxi : 2800 m

6 bivouacs, 3 orages - Poids perdu : 4 kg

Nombre de photos : 850 ramené à 200 après tri

Dénivelé + : 15150 m

Dénivelé - : 14390 m

Altitude maxi : 2800 m

Distance : 220 km

Jour 1 (GR®P)

Parking de Pont Rouge - Bivouac à 2300 m

D+ : 390 m, D- : 5 m, D : 4 km

Départ en fin d’après-midi du parking situé près du col de Larche, à la frontière franco-italienne. Arrêt à 19h et premier bivouac à proximité d’un torrent. Au menu, énorme salade de pâtes préparée par Marie. Petite averse vers 21h, du coup tout le monde va au lit.

 

Jour 2 (GTA + Via Alpina)

Bivouac à 2300 m - Col de Roburent (2502 m) - Colle della Scaletta (2614 m) - Passo della Gardetta (2439 m) - Passo Rocca Brancia (2606 m) -  Gîte de Pontebernardo (orage)

D+ : 1070 m, D- : 2055 m, D : 23 km, Max : 2614 m

Petit-déjeuner, démontage de la tente et hop, le sac sur le dos, toujours aussi lourd. D’ailleurs, je ne suis pas seul à me plaindre. Mais c’est le prix à payer pour les premiers jours d’autonomie. Les marmottes, pas farouches, nous accompagnent. Nous passons la frontière pour arriver en Italie juste avant le col de Roburent (2502 m). La suite, c’est le col de Scaletta (2614 m), le col de Gardetta (2439 m) où nous apprenons le score de l’équipe de France de foot et sa qualification pour les demi-finales de la coupe du monde, le col de Rocca Brancia (2606 m), le lac Oserot où nous envisageons un court instant un bivouac et une longue descente jusqu’à la route SS21. Là, un orage violent s’abat sur nous. Heureusement, des automobilistes s’arrêtent spontanément pour nous emmener jusqu’au gîte tout proche. Nous sommes surpris d’être reçu en français. Les responsables nous expliquent que leur langue d’origine est la langue d’Oc, d’Occitanie. Pour le dîner, nous profitons de la cuisine commune et allégeons un peu le sac à dos. Avec plus de 2000 m de dénivelé négatif, tout le monde est fatigué.

 

Jour 3 (GTA + Via Alpina)

Gîte de Pontebernardo - Passo Sottano delle Scolettas (2223 m) - Passo di Rostagno (2536 m) - Rifugio Migliorero - Bivouac à 2080 m

D+ : 1380 m, D- : 630 m, D : 13 km, Max : 2536 m

Nous partons du gîte de Pontebernardo avec un grand soleil, et du coup, le moral revient. Nous arrivons facilement au plateau de Vallone où nous apprécions un petit café avant d’attaquer une belle montée jusqu’au col de Scolettas (2223 m). Là, nous prenons le temps de faire sécher les tentes, humides depuis hier matin, avant de redescendre au niveau de Gias del Piz. Puis, c’est le casse-croûte devant le refuge Zanotti et nous poursuivons notre effort jusqu’au col Rostagno (2536 m). Ensuite, descente vers le refuge Migliorero. Nous questionnons les gérants sur la météo et la possibilité de bivouaquer un peu plus loin. D’un commun accord, nous plantons les tentes dans un cadre idyllique, à côté d’un lac et d’un torrent. Après avoir pris une bière évidemment.

 

Jour 4 (GTA + Via Alpina)

Bivouac à 2080 m - Passo di Laroussa (2471 m) - San Bernolfo - Passo Tesina (2400 m) - Gîte de Sant’ Anna di Vinadio (orage)

D+ : 1325 m, D- : 1385 m, D : 16 km

Départ du lac inférieur dell’Ischiator et montée dans le brouillard jusqu’au col de Laroussa (2471 m). Dans l’après-midi, nous atteignons le col Tesina (2400 m). Je m’aperçois que j’ai perdu, plutôt cassé, la pointe d’un bâton et ça c’est gênant. Plus tard, malgré de magnifiques lacs, nous avons du mal à nous décider pour trouver le site parfait de bivouac. Après avoir envisagé la nuit dans un refuge de bergers, nous optons pour le gîte de Vinadio, situé tout près du sanctuaire de Sainte Anne, sanctuaire le plus élevé d'Europe, à 2035 m. Le coût n’étant pas élevé, nous choisissons la nuitée + petit-déjeuner. Aussitôt installés, un orage interminable s’abat sur la commune. Ça s’appelle de la chance. Nous arrivons, après un peu d’attente, à rejoindre le bar du village pour l’apéritif. Le dîner est pris dans la chambre.

 

Jour 5

Gîte de Sant’ Anna di Vinadio - Col de la Lombarde (2347 m) - Cîme de la Lombarde (2800 m) - Rifugio Malinvern

D+ : 890 m, D- : 1095 m, D : 13 km, Max : 2800 m

Après un vrai petit-déjeuner, le premier depuis le départ, nous rejoignons sans difficultés le col de la Lombarde (2347 m) après avoir suivi un moment la frontière franco-italienne en surplombant la station d’Isola 2000. Là, Michel nous avoue qu’il lui manque un bout de carte et nous ne trouvons pas le début du sentier initialement prévu. Nous commençons donc à monter dans un pierrier pentu, trop à droite. Résultat : nous arrivons à la cîme de la Lombarde (2800 m), et ce sera d’ailleurs le point culminant de ce trek. Inutile de penser à redescendre par le même chemin, trop dangereux. Michel part en éclaireur de l’autre côté, et trouve fort heureusement une sente nous permettant de descendre dans la bonne direction, par la Via Alpina. Au vu des risques d’orage, nous préférons oublier le bivouac et arrivons au refuge Malinvern où nous optons comme hier, pour la nuitée + petit-déjeuner. Notre dîner avec un lyophilisé fait jaser en terrasse.

 

Jour 6 (GTA)

Rifugio Malinvern - Colleto di Valscura (2520 m) - Rifugio Questa - Pas du Préfouns (2615 m) - Lac Nègre (bivouac à 2360 m)

D+ : 1285 m, D- : 735 m, D : 13 km, Max : 2615 m

En milieu de matinée, nous passons devant le joli lac Malinvern. Sous le col de Valscura, nous devons mettre les crampons pour passer plusieurs névés. Il n’y a pas vraiment de danger mais ça nous rassure. Même Michel ! En plus, on les porte, donc autant les utiliser. Aux alentours de midi, petite sonnerie dans la poche signifiant la présence de réseau téléphonique. Tout le monde rassure sa petite famille. Plus loin, le sentier est construit dans un immense pierrier, se faufilant entre plusieurs lacs. Malheureusement, le brouillard épais gâche un peu notre plaisir. Nous sortons le saucisson au refuge Questa, entre brouillard et soleil. Dernière difficulté de la journée, le Pas du Préfouns. Et difficulté est un faible mot. A quatre pattes, dans la moraine, essayant d’avancer sur des amas de pierres qui glissent une fois le pied dessus. Bref, tout le monde passe sans bobos même si c’est un peu limite. La récompense, ce sont les bouquetins à quelques mètres de nous pour de belles photos. Passage de la frontière entre une nouvelle fois l’Italie et la France, entre le parc Alpi Marittime et le parc du Mercantour.

 

Jour 7 (GR® 52)

Lac Nègre (bivouac à 2360 m) - Col de Salèse (2031 m) - Le Boréon - Pas des Ladres (2432 m) - Refuge de La Madone de Fenestre

D+ : 985 m, D- : 1440 m, D : 20 km

Quel beau lieu de bivouac, ce lac Nègre ! Nous saluons le couple qui a planté sa tente un peu plus loin, puis direction le col de Salèse (2031 m) et la station du Boréon à travers bois et forêts, où nous croisons beaucoup de randonneurs en trek ou à la journée. Nous retrouvons un peu de réseau pour donner des nouvelles. Avant de monter au lac de Trecolpas, nous relevons 2 grosses erreurs de balisage. Etant devant, je dois sortir le GPS pour me rassurer. La principale difficulté de la journée, le Pas des Ladres (2432 m), est franchi sans encombre avant de redescendre jusqu’au refuge de La Madone de Fenestre. Nous choisissons la demi-pension pour économiser nos lyophilisés et reprendre un peu des forces avec un vrai repas.

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Jour 8 (GR® 52)

Refuge de La Madone de Fenestre - Pas du Mt Colomb (2548 m) - Refuge de Nice - Baisse du Basto (2693 m) - Baisse de Valmasque (2549 m) - Vallée des Merveilles - Refuge des Merveilles (bivouac à 2130 m)

D+ : 1250 m, D- : 1020 m, D : 15 km, Max : 2693 m

Départ du refuge de la Madone de Fenestre, montée au Pas du Mt Colomb (2548 m) et passage au magnifique site du refuge de Nice pour faire le plein d’eau. Suivent 2 cols franchis à travers de nombreux névés, Baisse du Basto (2693 m) et Baisse de Valmasque (2549 m). Enfin, devant nous, la Vallée des Merveilles et ses gravures rupestres protohistoriques. Dommage que nous n’ayons aucune connaissance dans ce domaine, nous ne pouvons pas apprécier à leur juste valeur les dalles gravées. Attention, dans cette partie, les bâtons de randonnée ne doivent pas être utilisés. Belle journée ensoleillée où nous rencontrons chamois, bouquetins et marmottes. Nous bivouaquons sur l’aire prévue, à côté du refuge, complet depuis des mois.

 

Jour 9 (PR®)

Refuge des Merveilles (bivouac à 2130 m) - Pas de l’Arpette (2511 m) - Pont du Countet - Auto-stop jusqu’au camping de St-Martin-Vésubie

D+ : 370 m, D- : 810 m, D : 6 km, Max : 2511 m

Nous quittons la Vallée des Merveilles, avec 3 gouttes de pluie, mais également avec nos amis les chamois, pour monter jusqu’au Pas de l’Arpette (2511 m). Michel s’est fait dérober une barre de céréales sous la tente, probablement par un renard. Nous descendons le vallon d’Empuonrame et arrivons au parking du Pont du Countet. Là, un problème de logistique se pose puisque nous devons carrément changer de vallée. Nous décidons donc de faire du stop. Une première voiture s’arrête et emmène Pascale. Une heure plus tard, une seconde voiture arrive à notre hauteur et nous avance jusqu’à un carrefour où la voiture de derrière nous amène jusqu’au camping de St-Martin-Vésubie. Pascale nous rejoint un peu plus tard. En attendant l’ouverture de la réception, nous faisons la connaissance de Carole et Amandine. Quelques mois auparavant, Carole avait contacté Michel sur le forum Rando-Trekking. Le monde est vraiment petit ! Après visite de la petite ville et quelques courses, nous prenons l’apéritif et le repas tous ensemble dans une bonne ambiance. Belle rencontre, donc. Avec Michel, nous veillons tous les 2 jusqu’au feu d’artifice, 14 juillet oblige.

 

Jour 10 (GR® 52A + GR® 5)

Camping de St-Martin-Vésubie - La Colmiane - St-Dalmas (de Valdeblore) - Rimplas - Gîte de St-Sauveur-sur-Tinée

D+ : 790 m, D- : 1210 m, D : 19 km

Le rythme du groupe n’étant plus homogène, Michel décide de modifier les étapes du retour, en passant par le GR® 5. Dommage, nous devions passer par les crêtes. Départ du camping après avoir quitté Carole et Amandine, montée jusqu’à la station de la Colmiane, pause-café, puis passage à St-Dalmas, connue des randonneurs pour être la bifurcation du GR® 5 et terminer, soit à Nice, soit à Menton par le GR® 52 plus montagneux. Arrivée à Rimplas, charmant village millénaire, petit écrin perché sur les hauteurs de la Tinée, où nous déjeunons. Descente en plein soleil jusqu’à St-Sauveur-sur-Tinée, où la finale France-Croatie de la coupe du monde de football est attendue. Le camping étant fermé depuis plusieurs années, nous optons pour le gîte communal tout neuf. A l’épicerie de l’autre côté de la rue, nous décidons de faire quelques courses pour les jours suivants. Douche, lessive et visite du village sont les principales occupations de l’après-midi. N’étant pas trop fouteux, nous suivons le score de la finale par SMS de nos épouses respectives. S’ensuit un début de soirée un peu bruyant, la faute aux cris et klaxons à chaque passage de voiture.

 

Jour 11 (GR® 5)

Gîte de St-Sauveur-sur-Tinée - Roure - Refuge de Longon (orage)

D+ : 1465 m, D- : 65 m, D : 12 km

Départ de St-Sauveur-sur-Tinée, bien calme après l’effervescence de la veille, et montée jusqu’à Roure, petit village médiéval perché à 1100 m à flanc de montagne. Ensuite, un court orage nous impose de nous habiller en conséquence. Dans la matinée, 2 personnes nous interpellent pour nous informer de la fermeture du GR® 5 avec un itinéraire alternatif, suite à un éboulement. Nous décidons tout de même de continuer, et nous avons raison. L’éboulement ne présente aucun risque. Et c’était pas la peine de nous menacer, du genre : "en cas de problème, on saura vous retrouver". Nous arrivons au refuge de Longon avant midi. Mais devant la dégradation de la météo, nous décidons de nous poser, et donc non seulement de déjeuner, mais également de prendre la demi-pension. Courte étape donc, et forcément, longue après-midi. Nous faisons la connaissance de Charly et Jean-Michel, 2 suisses parlant parfaitement français, très sympathiques. Le repas du soir nous déçoit un peu, même avec la fameuse faisselle, et comme l’omelette est un peu chère, la réputation du refuge en prend un coup.

 

Jour 12 (GR® 5)

Refuge de Longon - Col des Moulines - Col de Crousette (2480 m) - Gîte de Roya

D+ : 930 m, D- : 1310 m, D : 19 km

Nous quittons le refuge de Longon dans le froid, à la limite de l’onglée, et atteignons le col des Moulines. A partir d’aujourd’hui, le principal souci que l’on peut rencontrer est le patou, ce chien de montagne dont le rôle est de protéger les troupeaux contre les attaques des loups. En fait, nous n’en verrons pratiquement pas. En montant, j’engage la conversation avec un jeune homme travaillant pour le parc du Mercantour, dont le travail ce matin, est d’attraper des abeilles sauvages avec un filet pour les étudier et les répertorier. Avant le col de Crousette (2480 m), arrêt à la stèle Vallette, du nom d’un chasseur alpin décédé, pour apprécier le panorama à 360°. Nous laissons le Mont Mounier à droite et descendons jusqu’à Roya, après une longue pause à midi et séchage de la tente, pour déguster quelques bières avec nos amis suisses. Pascale décide de se poser au gîte, donc pas de bivouac ce soir.

 

Jour 13 (GR® 5)

Gîte de Roya - Col du Blainon (2014 m) - Auron - St-Étienne-de-Tinée - Col d’Anelle - St-Dalmas-le-Selvage - Ruines de Coimian (bivouac à 1980 m)

D+ : 1760 m, D- : 1315 m, D : 25 km

Départ de Roya, sans avoir pu saluer nos amis suisses, pour le col du Blainon (2014 m) et la traversée interminable de la station d’Auron où j’attends mes compères pour le traditionnel café matinal. Nous arrivons ensuite à St-Étienne-de-Tinée, charmante petite ville, et atteignons le col d’Anelle pour casse-croûter et faire une courte sieste. Nous atteignons St-Dalmas-le-Selvage, espérant faire quelques courses pour les 2 derniers jours. Mais à St-Dalmas, il y a en tout et pour tout, un restaurant qui propose du pain et un commerce de légumes et confitures. Les achats sont donc limités. Plus tard, l’emplacement du bivouac prévu par Michel n’étant pas trop plat, nous continuons à monter. Je m’arrête au niveau de ruines, Coimian, et d’un point d’eau. Pascale et Michel me dépassent sans me voir et bivouaquent, eux, plus loin. D’impressionnantes rafales de vent m’empêchent de dormir sereinement.

 

Jour 14 (GR® 5)

Ruines de Coimian (bivouac à 1980 m) - Col de la Colombière (2307 m) - Bousiéyas - Col des Fourches (2261 m) - Pas de la Cavale (2671 m) - Parking de Pont Rouge

D+ : 1260 m, D- : 1325 m, D : 20 km, Max : 2671 m

Réveil à 4h50 pour rejoindre à tout prix mes 2 compères. Je les retrouve, en train de déjeuner, de l’autre côté du col de la Colombière. Ils sont également bien installés, à côté d’un étang. Me voilà rassuré ! Arrêt à Bouziéyas pour un petit café et observation de cerfs au loin. Bonne idée, cette lunette en libre-service au gîte communal. Passage au Camp des Fourches où d’anciennes bergeries sont en cours de rénovation, et plus loin, le col des Fourches (2261 m), où nous bénéficions d’un spectacle grandiose, les dolines du Salso Moreno, qui sont en fait des curiosités géologiques en présence de gypse. Nous prenons le repas de midi au Pas de la Cavale (2671 m) et descendons ensuite longuement jusqu’au parking en profitant notamment du lac du Lauzanier.

 

La voiture est toujours là, l’aventure prend fin au camping de Larche. La boucle est bouclée.

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Commentaire de Marie V. (Facebook), le 21/07/2018

Bravo... Quel beau périple et magnifique performance !

 

Commentaire de Dominique G. (Facebook), le 21/07/2018

Bravo à vous 3 pour le timing respecté et votre forme !

Commentaire de Marie V., le 25/07/2018

Un seul mot me vient : "REMARQUABLE"... Un seul mot, certes, mais pour plein de raisons ! Remarquable par le challenge de réussir ce trek long et difficile... Remarquable par le récit que tu nous en as fait... Remarquable par le reportage photos, toutes plus belles les unes que les autres ! Alors, BRAVO et merci pour tout ça.

Commentaire de Jacques R., le 25/07/2018

Une région superbe et les marmottes ont l'air sympa. 15 km de dénivelé, je ne suis pas sûr d'en avoir fait autant pendant toute ma vie. Chapeau !

Commentaire de Françoise V., le 26/07/2018

Bravo pour tes performances et merci pour la super qualité des photos. Si j'étais ta fille au lieu d'être ta mère, j'aurais été tentée par l'aventure ! Mais c'est trop tard ! Profite encore de nombreuses années pour parcourir le monde et en faire profiter les autres grâce à tes photos et commentaires.

Commentaire de Simone B., le 28/07/2018

Joli périple, mais parfois dangereux. Il faut de l'expérience. Très courageux.

Commentaire de Michel F., le 28/07/2018

Superbe reportage qui relate bien notre périple de part le texte et les photos, tout au long de ces 2 semaines avec tous les aléas que nous avons dû gérer au jour le jour (orages, brouillard, neige, pierrier, blessure); mais aussi de magnifiques rencontres marmottes, bouquetins, chamois, des paysages exceptionnels, des gens sympathiques et accueillants, et le plaisir de terminer tous les trois.

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